Apprendre l’anglais en s’amusant avec Speakid !

L’apprentissage des langues dès le plus jeune âge est une tendance croissante…

Mais est-il vraiment possible d’apprendre une langue étrangère avant 3 ans ?

Selon les spécialistes, la réponse est oui !  Il semblerait que la période préscolaire soit propice à l’apprentissage des langues en raison de la capacité d’adaptation du cerveau des tout-petits.  Les très jeunes enfants distinguent et reproduisent les sons plus facilement et enregistrent à une vitesse phénoménale le moindre mot (y compris celui qu’ils ne devraient pas répéter :-)).

Et si certains parents craignent que l’apprentissage d’une langue supplémentaire ne provoque des troubles du langage, de nombreuses études démontrent qu’il n’y a aucun lien entre un retard de langage et l’apprentissage simultané de deux langues. Pour preuve, les enfants issus de milieux multiculturels qui passent aisément d’une langue à l’autre !

Nos bouts de choux ont donc tout intérêt à se familiariser très tôt avec les langues étrangères ! Alors pourquoi ne pas relever le challenge et faire en sorte que  la France ne soit plus le cancre européen dans ce domaine :-) ?

Les ateliers ludiques de Speakid

Alors que je commençais à me demander comment initier mon mini de presque 3 ans à l’anglais, l’organisme Speakid m’a proposé de venir tester un de leurs ateliers dédié aux enfants âgés de 1 à 3 ans.

Ce qui m’a interpellé chez Speakid ?

Leur approche ludique, qui s’inspire de 3 méthodes pédagogiques actives, permettant à l’enfant de se familiariser plus facilement et de manière plus intuitive à la langue anglaise :

  • Montessori, basée sur la l’enseignement mutuel et l’éducation sensorielle,
  • Freinet, qui favorise la libre découverte et l’apprentissage autonome,
  • le TPR (Total physical response), moins connu que les deux autres, basé sur la coordination du discours et de l’action.

Comme vous pouvez l’imaginer, le mix de ces 3 pédagogies nous entrainent loin des codes de l’apprentissage scolaire : Point de manuels, de pupitres ou de tableaux (même pour les 6-10 ans). Les ateliers sont construits autour d’activités multi-sensorielles telles que les jeux de groupe, la musique live, le chant, la danse ou encore les arts graphiques.

Alléchant, non ?

Mon test de  l’atelier « Happy baby » pour les 1-3 ans (210 euros / trimestre)

Clément et moi avons été accueillis dans une salle lumineuse et colorée en compagnie des 4 ou 5 autres couples de parents-enfants. Les minis avaient entre deux et trois ans et certains suivaient l’atelier depuis septembre.  Luca, musicien et globe-trotteur d’origine anglaise, nous a invité à nous présenter brièvement.  L’anglais a majoritairement été employé du début à la fin de l’atelier.

Danses, jeux de ballons, guitare et chants ont rythmé la séance qui a touché à sa fin… beaucoup trop vite :-).

L’atelier s’est déroulé dans un esprit convivial et bienveillant et j’ai pu constater un réel enthousiasme de la part de mon fils et de ses congénères, comme en témoignent ces vidéos :-) :

 

 

Même si il est difficile de se prononcer en une seule séance sur la qualité pédagogique et l’efficacité de Speakid en termes d’apprentissage , j’ai trouvé ce premier atelier prometteur. Et j’imagine aisément qu’au bout d’un trimestre les enfants puissent mémoriser une chanson, qui enseigne les jours de la semaine ou les saisons.

Speakid s’adresse également aux plus grands et propose l’atelier « After School » aux 3-10 ans (295 euros par trimestre), des ateliers « Starting block » pour un apprentissage plus poussé (210 euros par trimestre),  et de quoi occuper vos petits pendant les vacances avec l’atelier « Holidays »(249 euros les 15 heures)

Pour en savoir plus sur les activités de Speakid, n’hésitez pas à consulter leur site

Suivez également leur actu sur Facebook.

Service offert par la marque

Auteur : Anne-Lise Pernotte

Anne-Lise Pernotte est rédactrice en chef de cotebebe.fr et free-lance dans le digital. Passionnée par le web, l'écriture et l'univers de la petite enfance, elle souhaite apporter un accompagnement bienveillant et éclairé aux futurs et jeunes parents. Elle est aussi l'auteure du premier livre feelgood dédié à la parentalité tardive "avoir un enfant à 40 ans (ou presque)"

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